Visa pour l’image

Visa pour l’image – Prix Camille Lepage

Un des objectifs de l’association est également de promouvoir la mémoire, le travail ainsi que l’engagement de Camille Lepage.

Le Visa pour l’image Camille Lepage permet de rentrer directement en action sur ce terrain. Depuis plusieurs années, la SAIF (Société des Auteurs des Arts visuels de de l’image Fixe) s’engage pour financer le prix à hauteur de 8000 euros. Derrière ce prix se cache la volonté d’encourager le travail d’un photojournaliste engagé sur un long terme. Pour participer au prix, il faut suivre le règlement communiqué par l’association en consultant le site suivant :

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Les lauréats Prix Camille Lepage :

2023 : Cinzia Canneri

Cinzia Canneri est la lauréate 2023 pour son projet de reportage sur les violences infligées aux femmes au Tigré et en Érythrée, en temps de conflit ou de paix. Elle étudiera les conséquences à moyen et long terme de cette violence sur leur vie et leurs perspectives d’un avenir meilleur. Son prix lui a été remis le jeudi 7 septembre 2023 à Perpignan.

Pour la septième année consécutive, la SAIF, Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe, s’engage pour financer le prix de 8 000 euros, destiné à encourager le travail d’un photojournaliste engagé au long cours.

2022 : Rebecca Conway

Rebecca Conway est la lauréate 2022 pour son projet de reportage sur les conséquences de la guerre civile sur la santé mentale au Sri Lanka. Son prix lui a été remis le mercredi 31 août 2022 à Perpignan.

Pour la sixième année consécutive, la SAIF, Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe, s’engage pour financer le prix de 8 000 euros, destiné à encourager le travail d’un photojournaliste engagé au long cours.2021 : Ana Maria Arevalo Gosen

Ana Maria Arevalo Gosen est la lauréate 2021 pour son projet de reportage sur les conditions de détention des femmes en Amérique latine. Son prix lui a été remis le jeudi 2 septembre 2021 à Perpignan.

Pour la cinquième année consécutive, la SAIF, Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe, s’engage pour financer le prix de 8 000 euros, destiné à encourager le travail d’un photojournaliste engagé au long cours.

2020 : Olivier Jobard / MYOP

Olivier Jobard a reçu le Prix Camille Lepage 2020, soutenu par la SAIF ! Ce prix l’aidera à réaliser son reportage sur un chemin peu connu emprunté par les migrants, traversant l’Ethiopie à l’Arabie Saoudite, en décrivant l’expérience de la famille de Mustafa, un homme qu’il a rencontré à Aden. Son prix lui a été remis le jeudi 3 septembre 2020 à Perpignan.

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  • 2019 : Thomas Morel-Fort
    Thomas Morel-Fort est un photographe basé à Paris. Lauréat 2019, il a reçu son prix lors de la soirée du jeudi 5 septembre à Visa pour l’image pour l’aider à terminer son reportage sur les employées domestiques philippines, dans lequel il explore cette fabrique de l’exil et les enjeux économiques pour le gouvernement philippin et les familles de ces « Filipinas ».

Thomas-Morel-Fort-Prix-Lepage-2019

  • 2018 : Kasia Strek
    Basée entre Paris et Varsovie, cette photojournaliste polonaise est passionnée de littérature et de questions sociales. C’est ce deuxième point qui est abordé dans cette oeuvre qui montre l’avortement dans un pays où la procédure est illégale.

Oeuvre Kasia Strek

  • 2017 : Pierre Faure
    Agé de 27 ans, ce photojournaliste d’origine Niçoise s’est très vite intéressé aux personnes vivant en grande précarité. C’est d’ailleurs pour cela qu’il documente la montée de la pauvreté en France en parcourant l’ensemble du pays depuis 2015.

“Vingt ans d’anti-dépresseurs”

  • 2016 : Pauline Beugnies
    A travers ses travaux, Pauline Beugnies montre une démarche humaine et engagée. Elle a réalisé de nombreux travaux autour de ce sujet comme celui des femmes du Bangladesh brûlées à l’acide. Elle a également pu travailler au Congo, en Albanie, en Palestine et en Egypte durant les manifestations de 2011.

  • 2015 : Romain Laurendeau
    Après avoir sauvé sa vue de peu en 2009, Romain Laurendeau ne cesse voyager afin de rapporter la condition humaine sous les aspects économiques, politiques et sociaux. Son oeuvre s’attache à un pays auquel il s’attache depuis 2014 : l’Algérie. Elle raconte l’histoire de la jeunesse de ce pays qui s’ennuie entre une histoire qu’elle subit et un avenir inexistant selon elle.

Romain-Laurendeau-oeuvre